Guide de survie en open space
Comment bosser avec des collègues hyper relou ?
05-10-2017
Vos collègues de bureau, vous vivez avec eux 8 heures par jour. C’est plus qu’avec votre famille.
Alors un des pires trucs qui puissent vous arriver, c’est de tomber sur un vrai collègue insupportable. Un de ceux qui pourrissent l’ambiance. On les reconnaît à trois trucs :
Bon, n’en faisons pas non plus un réflexe… La première chose à tenter, c'est de corriger le tir. Résoudre un conflit entre collègues ? Presque facile. Mais quand toute la boîte est gangrénée de l'intérieur… C'est bien plus compliqué.
Quand votre environnement de travail devient trop toxique, ne réinventez pas la roue : barrez-vous.
3. Dire ce qu'on ressent
“Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît…” Ouais, donc n’essayez pas les battre à leur propre jeu. Niveau strat’, le terrain de l’émotion est le moins miné. Car quand on livre ses sentiments, personne ne peut nous contredire.
L'astuce ultime de Sutton ? Construire un cordon de sécurité autour du relou. Toujours vous faire accompagner lorsque vous vous expliquez. Et ainsi l’isoler, pour mieux le neutraliser. L'essentiel, dans cette bataille, c'est d'être bien épaulé.
En tout cas, nous, on est là.
Lire l’article original sur le blog de Darius Foroux.
Alors un des pires trucs qui puissent vous arriver, c’est de tomber sur un vrai collègue insupportable. Un de ceux qui pourrissent l’ambiance. On les reconnaît à trois trucs :
Bosser avec eux ? Ça n'est pas juste désagréable. En fait, ça peut carrément vous tuer… Les relations de travail toxiques augmenteraient de 240 % la mortalité des travailleurs. Ça, c’est la conclusion d’une étude hyper sérieuse menée pendant plus de vingt ans par le professeur Arie Shirom de l’Université de Tel Aviv.
Les relous, c'est tellement nocif qu'on en a fait un champ d’étude à part entière…
Les relous, c'est tellement nocif qu'on en a fait un champ d’étude à part entière…
Ces mecs-là, Robert Sutton les appelle sobrement “assholes”. Et il a même écrit un manuel : The Asshole Survival Guide. Son bouquin, c'est un vraie bible. Voici trois trucs qu'on en a retenu.
1. Ne pas juger (trop vite)
"On est toujours le con de quelqu’un", chantait Perret. Bah oui : les mauvais jours, ça arrive à tout le monde. Et dans ces moments-là, on aimerait pouvoir compter sur la compassion des autres. Donc avant de juger, réfléchissez.
Le vrai collègue insupportable, c'est tous les jours qu'il l'est. Et là, c'est tout de suite plus facile de le classer…
1. Ne pas juger (trop vite)
"On est toujours le con de quelqu’un", chantait Perret. Bah oui : les mauvais jours, ça arrive à tout le monde. Et dans ces moments-là, on aimerait pouvoir compter sur la compassion des autres. Donc avant de juger, réfléchissez.
Le vrai collègue insupportable, c'est tous les jours qu'il l'est. Et là, c'est tout de suite plus facile de le classer…
L'autre point, c'est qu'on est tous humains. Alors trop souvent, on prend les choses à cœur. L’essentiel pour bien s’entendre au travail, c’est justement de ne rien prendre personnellement. De jouer la carte du détachement. Parce qu’en général, ce que font les autres, ça ne nous est jamais directement destiné.
2. Déguerpir
L’abandon ? On le perçoit souvent comme un manque de caractère, de courage ou d’ambition. Sauf que parfois, pas le choix : faut y aller.
2. Déguerpir
L’abandon ? On le perçoit souvent comme un manque de caractère, de courage ou d’ambition. Sauf que parfois, pas le choix : faut y aller.
Bon, n’en faisons pas non plus un réflexe… La première chose à tenter, c'est de corriger le tir. Résoudre un conflit entre collègues ? Presque facile. Mais quand toute la boîte est gangrénée de l'intérieur… C'est bien plus compliqué.
Quand votre environnement de travail devient trop toxique, ne réinventez pas la roue : barrez-vous.
3. Dire ce qu'on ressent
“Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît…” Ouais, donc n’essayez pas les battre à leur propre jeu. Niveau strat’, le terrain de l’émotion est le moins miné. Car quand on livre ses sentiments, personne ne peut nous contredire.
L'astuce ultime de Sutton ? Construire un cordon de sécurité autour du relou. Toujours vous faire accompagner lorsque vous vous expliquez. Et ainsi l’isoler, pour mieux le neutraliser. L'essentiel, dans cette bataille, c'est d'être bien épaulé.
En tout cas, nous, on est là.
Lire l’article original sur le blog de Darius Foroux.
